Ce sont les filles des forges
Enchanting voices and a mystical sound
The repertoire of the two young musicians is based on internationality. They choose their songs from different countries: the US, Ireland, Scotland, Spain, France and the Balkans. That is why the songs come from various genres of music which the interprets approach in their own style. The songs are chosen with special care concerning the texts which often remind the audience of the responsibility and respect that mankind has to pay to every human being and to nature.Traditional and modern songs - unconventionally arranged with bagpipes, hurdy-gurdy, harp, various flutes, guitar, violin, keyboard, electric bass and bass viol - invite to join in the music, but to reflection as well. Accordingly, the music doesn't have an everyday sound but her own timbre and charm.
Trois matelots du port de Brest
Des voix enchantantes et des sons mystérieux
Le répertoire des jeunes musiciennes est appuyé sur internationalité. Elles choisissent leurs partitions des différents pays comme les Etats-Unis, l'Irlande, l'Ecosse, l'Espagne, la France et les Balkans. C'est la raison pourquoi les chansons ont leur origine dans des diverses genres de musique desquels les musiciennes s'approchent de leur propre manière. Les chansons sont choisies avec attention quant aux textes qui en appellent souvent à la responsabilité et au respect des êtres humains pour chaque individu et la nature. Des chansons traditionelles et modernes - de manière peu conventionnelle recomposées pour des cornemuses, la vielle, la harpe, plusieurs flûtes, la guitare, le violon, le clavier, la basse et la basse de viole - invitent à participer à la musique ou à y songer. La musique ne résonne pas au quotidien, mais elle a son propre son et charme.
"Das, was nicht gesagt werden kann und worüber zu schweigen unmöglich ist, das drückt Musik aus."
"Music expresses that which cannot be said and on which it is impossible to be silent."
"Ce qu'on ne peut pas dire et ce qu'on ne peut pas taire, la musique l'exprime."
(Victor Hugo)
Santiago